… Elle partage avec nous son article et 13 bonnes raisons de changer de travail en 2014 !
Tel des chats d’appartement, nous pouvons rester cloîtrés chez nous toute une vie sans jamais appréhender le monde qui nous entoure. Et bien il en va de même avec notre travail.
La pression sociale ne nous définit plus que par notre emploi. Formatés par cette idée de vivre pour travailler, nous devenons de dociles petits soldats de l’économie.
Mais le bon soldat aussi à besoin de se rebeller. Surtout quand il s’agit de donner un sens à son existence :
J’ai un job bien payé mais mon âme est malheureuse… Ce n’est pas moi ! D’autant que mon titre n’est que subjectif. Au fond je me sens inutile.
Il serait peut-être temps de quitter votre taf non ?
Il y a quelques années, j’ai lâché le monde de l’entreprise. Aujourd’hui je pars vivre en Hongrie avec des projets longuement mûris prêts à être déployés. Tant pis si c’est risqué.
Nous n’avons rien sans rien et j’aime le risque.
Et nous sommes loin d’être les seuls ! Comme en témoigne le parcours de ce couple qui travaille et voyage en continu.
Alors si comme moi vous rêvez de vous accomplir sans bosser pour un autre, j’ai 13 arguments qui vous aideront peut-être à quitter votre job.
1. Chaque matin vous partez au travail à reculons
Tous les jours de votre misérable existence sont régis par cet impératif routinier. Vous ne pouvez plus piffrer vos collègues ni votre directeur. Vous en faite même une obsession telle que cela affecte votre santé et vos relations.
Et si votre angoisse était plutôt due à un profond ennui ? Signe que vous n’apprenez plus.
Peut-être êtes-vous sur la pente descendante ou que votre ultime promotion vous a parachuté sur le poste inadéquat ? Si comme l’explique le principe de Peter, chaque employé tend à s’élever à son niveau d’incompétence, vous persistez peut-être dans la mauvaise voie.
Vous voulez que je vous fasse un dessin ? Après 3 ans de lycée et quelques années d’université pour travailler dans le domaine qui vous a été enseigné, comme 90% des gens vous finirez par vous dire cette phrase fatale :
C’était les 45 ans les pires de ma vie…
Car la plupart des travailleurs n’aiment pas ce qu’ils font.
Et que fait-on de ce que l’on déteste ? On s’en débarrasse ! Comme la peur ; la peur de quitter son job face à un taux de chômage record. La peur de se retrouver à la rue comme un misérable.
Alors que préparer correctement son départ suffit à l’oublier.
2. Votre boulot ne satisfait plus vos besoins
Et selon Maslow vous en avez pas mal :
Sont-ils satisfaits ?
Côté physiologique et sécurité, oui. A moins que vous ne soyez payés au lance-pierre dans un atelier du Bangladesh. De même avec le besoin d’appartenance, excepté pour les têtes de con reléguées au placard.
L’accomplissement de soi et l’estime des autres sont beaucoup plus difficiles à combler.
Pour ma part ils l’étaient tant que je disposais d’une totale liberté sur la gestion de mes tâches. J’automatisais tout ce que je pouvais au sein des entreprises pour me dégager du temps et faire autre chose. Reconnue par mes paires, ma créativité battait son plein jusqu’à l’arrivée fatale de la routine.
Mais j’ai aussi connu l’insatisfaction.
A passer ma vie au turbin avec des personnes détestables, dans des usines à gaz bâillonnant ma créativité. Dans ces cas là je trouvais très vite une stratégie de sortie !
Vous bloquez aux deux derniers paliers ? Pire, ça coince déjà au troisième ? Commencez dès maintenant à réaliser des choses en parallèle de votre taf ou cassez-vous de votre entreprise.
Plus vous satisferez de besoins, plus vous créerez les conditions idéales d’abondance pour votre avenir. Vous pouvez arguer que » tout le monde n’a pas de tels besoins « . Dire le contraire serait vous résigner face à vos manques.
3.Votre boss vous donne de l’urticaire
C’est fou le nombre de petits chefs prêts à vous écraser pour satisfaire leurs besoins d’estime. Pour prouver sa valeur, il est plus facile de dénigrer que de s’améliorer.
Ajoutez à cela toutes leurs frustrations qu’ils vous font payer, bien qu’elles soient identiques aux vôtres. Et vous savez pourquoi vous, comme la majorité des employés, n’aimez pas votre patron.
Pester contre lui en famille et crier vengeance vous soulage… Mais pas ceux qui vous accompagnent. Et ça vous mine ! Car vous côtoyez votre boss plusieurs heures par jour, voir même plus que votre conjoint(e).
En restant dans une telle relation vous dépérirez et plomberez votre smala. Alors pas de petites vengeances ni de complaintes, pensez à votre construction.
Et si vos relations inter-collègues sont identiques c’est pareil.
4. Votre sécurité d’emploi est une chimère
Vous pensez qu’en obtenant un job dans une grosse boite vous grimperez les échelons et serez promus à votre juste valeur jusqu’à votre retraite. Prétention bien légitime avec vos 70 heures de boulot assidu par semaine.
Mais est-ce toujours d’actualité ?
J’ai un scoop pour vous : La sécurité d’emploi n’a jamais existé !
Et ça n’ira pas en s’améliorant avec la dégradation constante du marché du travail. Pas une semaine ne passe sans que de nouveaux plans sociaux de grandes entreprises ne soient annoncés.
Les PDG ont gardé les millions d’€ et ont viré des milliers de personnes pour délocaliser en Chine.
Vous avez déjà entendu ce genre de propos non ? Dites merci aux licenciements économiques.
La sécurité d’emploi est un mythe à moins de vouloir travailler pour la SNCF.
5. Vous avez été remplacé
Substitué par les machines depuis des années, l’employé d’antan fait face à un autre problème : Les services vendus par à-coups. Quand un gourou du web comme Seth Godin nous dit :
Pourquoi engager des gens médiocres en CDI lorsqu’on peut engager des pointures temporairement ?
Vous croyez qu’il est le seul à le penser ?
La technologie, le travail en ligne, le outsourcing, l’industrie du temporaire et la productivité remplacent tout doucement la classe moyenne.
Les jobs de la classe ouvrière d’il y a 30 ans n’existent déjà presque plus. Et le vôtre ? Ne risque t-il pas également de disparaître ? Souvenez-vous des années 2000. Les patrons à gros cigares pleuraient :
Comment allons-nous faire pour nous débarrasser de tout nos poids mort ?
Pas de panique ! La crise de 2008 est là. Vous êtes viré et nous n’y pouvons rien, c’est l’économie. Peut-être mais elle s’est redressée depuis…
Où sont passés les jobs disparus ?
Mais si vous souhaitez vous secouer c’est peut-être votre chance après tout. L’homme ne bouge son cul qu’au pied du mur. Alors prenons ce mal pour un bien.
Et puis de toute façon…
6. Les grandes corporations ne vous aiment pas
Vous qui vous êtes dédié des années, voir des décennies à votre entreprise, croyez-vous vraiment qu’elle aura de la reconnaissance pour vous ? Les grandes entreprises vous trompent. Ce sont des machines bien réglées cherchant l’efficacité perpétuelle à faire plus d’argent.
Ce témoignage m’a déchiré le cœur :
Je dois me libérer ! Je travaille jour après jour comme un fou pour 3 patrons de merde. Je passe devant leur Porsche pendant qu’ils se vantent d’être géniaux parce qu’ils louent des vélos à leurs employés.
Leurs ingénieurs expérimentés, titulaires de Masters et de doctorats, sont moins payés que les branleurs des relations publiques et des ressources humaines, détenteurs au mieux d’un bac +2.
Les salaires sont si bas que leurs employés de 35 ans doivent vivre en colocations comme des étudiants.
Ils vantent leurs actions en bourse alors qu’ils se dévaluent chaque année… et nos salaires en pâtissent au passage.
Et le PDG dans tout ça ? Il s’en fout il est riche.
Je ne suis pas né riche moi et tout ce que j’ai à offrir c’est mon doctorat et 50 publications dans des revues scientifiques. Même mon université ne reconnaît ni mon talent ni mon dur labeur…
Rahhhh ! Cela me donne envie de me tuer ! Je dois me libérer de cette situation inadmissible.
Détruire vos aspirations profondes est une activité récurrente des grandes entreprises.
Elles créées un environnement dans lequel les gens feront tout pour de l’argent. Elles veulent être mises au devant de la scène en cachant leurs éléments talentueux. Par une promotion peut-être ?
Elles préfèrent briller en spoliant vos idées. Voler les idées, encore une belle activité d’entreprise.
Ne gâchez pas votre vie en travaillant pour des voleurs.
Après 2 ans dans une grosse firme, mon chef direct m’a fait une confidence : En 7 longues années il n’a jamais été augmenté. Je suis partie aussi sec. J’ai du mal avec la vaseline. J’étais pourtant bien avec tout le monde et j’aimais mon environnement de travail…
Et bien justement ! Tout est calculé pour que ça passe sans broncher.
Alterner est une bonne option. Commencez avec de petits projets en parallèles et vous vous sentirez mieux, même au sein de votre entreprise.
Mais n’y restez pas pour autant.
7. Votre retraite ? pfff…
Vous y croyez encore ? Cotiser pour ses vieux jours c’était le bon vieux temps. L’inflation s’est faite un plaisir de tailler dans le gras avec les années.
Sans compter les frais de gestion des banques sur votre plans épargne retraite.
Et puis quoi ? Vous allez attendre de tirer profit d’un régime de retraite pour commencer à vivre ?
Vieux et délabré, vous aurez travaillé des années sur un poste que vous n’aimez pas et tout à coup vous aurez 80 ans ! Pas facile de profiter de tout à cet âge. Vérifiez votre pacemaker avant de sauter en parachute. 🙂
Votre meilleure retraite c’est de la choisir vous-même. Commencez un projet et ne le lâchez pas. Il n’y a pas d’âge pour monter un business. Certains me diront :
Mais je ne suis pas un entrepreneur.
Tout le monde entreprend tous les jours. Et s’investir dans quelque chose de nouveau ne vous demande pas non plus d’être un Mark Zuckerberg.
Vos initiatives, vos capacités à développer des idées et à rebondir face à l’échec suffisent. Essayer, commencer, se planter, c’est ça la vraie aventure de la vie !
8. L’argent ne justifie pas tout
Dois-je accepter un boulot pour l’argent ou pour l’amour que je lui porte ? Je suis sûre que cette question vous a déjà traversé l’esprit.
L’argent c’est comme les croissants. En manger deux c’est génial ; même trois ou quatre feront l’affaire. Mais vous n’allez pas en avaler quinze. Chaque croissant supplémentaire ne vous procurera pas plus de plaisir. En réalité, si vous deviez tous les manger vous auriez sûrement envie de vomir.
Tout le monde veut être libre et tout le monde veut de l’argent pour obtenir cette liberté. Ainsi, ironiquement, notre culture nous apprend à devenir esclave pour atteindre cette liberté.
Esclave de ma liberté… Je suis perdue là !
Des études sérieuses prouvent qu’une hausse de salaire augmente votre niveau de bonheur de… 0 ! Voilà un début de réponse à notre questionnement. Etre enchaîné toute notre vie dans un zoo nous protège des vicissitudes de la vie, certes. Mais n’est-il pas plus intéressant de traverser la jungle pour profiter d’une vie d’aventures ?
De toute façon, plus l’on gagne plus l’on dépense : Une nouvelle déco, un nouvel aspirateur ou une machine à laver chaque année. Pourquoi pas la dernière voiture de votre marque préférée tant que vous y êtes ? Et si vous pouviez voir votre maîtresse plus souvent…
En clair, la plupart des gens qui gagnent cet argent le mettent rarement de côté.
Votre niveau de consommation augmente et vous vous demandez en fin de mois :
Mais où est parti tout mon argent ?
Et c’est parti pour vous torturer avec votre future augmentation de salaire qui n’arrivera peut-être jamais.
STOP ! Vous n’avez pas l’impression de tourner en rond là ?
Attendre votre prochaine augmentation ne vous amènera jamais à vous libérer de l’anxiété des finances. Seul le temps libre, l’imagination et la créativité vous aideront à vous délivrer de ce rapport à l’argent biaisé par votre boulot.
9. L’abondance ne viendra jamais de votre travail
Et on ne parle plus de fric là.
Quand vous vous réveillez tous les jours avec cette motivation de réussir par et pour vous-même, vous soulevez des montagnes. Quand vous prenez plaisir à aider ceux qui vous entourent, même les gens que vous ne connaissez pas, c’est de la reconnaissance que vous obtenez. Et c’est bon pour l’estime de soi.
N’est-ce pas Monsieur Maslow ?
Partagez vos richesses avec joie, cela vous sera rendu au centuple. C’est ça l’abondance. Pas facile à atteindre en restant enchaîné à un boulot qui vous rebute avec toute sa panoplie :
– Petit chef frustré
– Augmentations de salaire soporifiques
– Fausse sécurité d’emploi
– Hypocrisie de la retraite
– Bride de votre créativité et j’en passe…
Mais vous n’y pouvez rien ! Ce sont les mâchoires de l’économie qui vous privent de cette abondance, et nécessité fait loi depuis plus de 100 ans. Difficile à comprendre pour nous qui baignons dedans depuis notre naissance, je vous l’accorde.
Atteindre l’abondance c’est en prendre conscience et sortir peu à peu de cette prison.
10. Vous êtes pris pour un « looser » dans votre entourage
Enfermé dans votre job depuis 2 ans vous êtes loin d’exploiter toutes vos capacités. Quand on vous demande ce que vous faites dans la vie vous avez honte de le dire…
Ces années vont prendre de l’importance sur votre CV et le mot looser résonnera de plus en plus fort dans votre tête.
Voilà maintenant 5 ans que vous parlez de vos projets à vos proches. Et qu’en pensent-ils réellement ? Vous voulez vraiment le savoir ? Demandez-leur mais relativisez les réponses hypocrites.
Ou demandez l’avis de personnes vraiment critiques. Vous savez, ces personnes qui disent tout haut ce que tout le monde pense tout bas.
Ne faites pas l’erreur de vous encroûter en laissant les années défiler. Car plus il y en aura, plus il sera difficile de partir.
Et frustré à vie après 15 ans à vous plaindre de votre boite, vous chercherez du réconfort dans les yeux de votre amour espérant y découvrir le signe qu’il vous aime encore. Mais 15 ans de frustrations ça use, l’étincelle disparait et vous finissez par dormir seul dans la froideur de la nuit.
Comme un looser.
11. Non ! Vous sentez que vous valez mieux
Vous pendre ? Jamais. Si vous avez lu cet article en entier il est évident que vous valez mieux que ça. Alors comment faire le premier pas ?
Il vous faut juste plus de responsabilités, mais pour cela il faut des opportunités.
Elles sont souvent limitées au sein des entreprises. Du coup, si vous souhaitez élargir vos compétences vous devez passer à autre chose. Ne perdez pas votre temps à faire plaisir à des personnes qui ne vous comprendront jamais.
Et puis sans défi l’ennui s’installe.
Planifiez votre futur au préalable, c’est un premier pas. Ensuite seulement démissionnez ou partez à l’amiable. Vous ne pouvez pas juste partir en disant « fuck » à votre patron. Préparez-vous comme pour un sportif de haut niveau. Les préparations mentales, physiques et émotionnelles sont indispensables.
Alors ne quittez pas votre chéri(e) au même moment.
12. Vous avez 1 000 projets en tête (rédigés c’est mieux…)
N’attendez pas pour les entamer !
Vous pouvez les commencer en parallèle de votre boulot. C’est le cas de Tony, l’illustrateur de Travelplugin. Il s’est mis à gribouiller sur le blog. Puis à écrire quelques billets. Il a fini par se former à Illustrator et à Photoshop et créer des illustrations pour chaque article du blog.
Non il ne dessinait pas au bureau, quoique…
Il a travaillé d’arrache-pied tous les soirs en rentrant du taf. Le dessin et l’illustration sont devenus ses nouveaux hobbies.
Conjointement, un incroyable calme intérieur l’a envahi au boulot. Les plaintes des employés, les ultimatums de ses chefs et les usagers mécontents n’ont plus eu d’emprise sur lui. Bizarre.
Aujourd’hui il ne pense plus qu’à avancer. En s’octroyant une année sabbatique et en travaillant pour ce qui le motive. Ou encore en montant son site d’illustrateur pendant notre expatriation dans les pays de l’Est.
Belle stratégie de sortie que de s’ouvrir l’esprit par la créa et ainsi quitter son job.
Une stratégie de sortie c’est planifier avant de tout plaquer.
Et ce n’est pas parce que vous partez que vous allez réussir, ce ne serait pas drôle autrement.
J’ai fait des erreurs et je continue aujourd’hui, plus expérimentée encore.
13. Au bout de 6 mois, vous aurez appris autant qu’en 4 ans
Lire, entamer un projet, gagner en aptitudes et faire des erreurs, quoi de mieux pour apprendre. Le tout est de garder l’esprit en ébullition en continuant d’apprendre perpétuellement.
Etudiez, voyagez ou montez des business. Vous devrez appréhender des tonnes de nouvelles compétences ; assez pour remplir une vie. Et le premier chèque perçu est un moment magique. C’est comme si vous aviez appris à créer de l’argent à partir de rien.
Et je sais de quoi je parle ! Ancienne contrôleuse de gestion je me suis formée au web et suis devenue webmaster, rédactrice et traductrice freelance d’un site reconnu.
De travailleuse à domicile je suis vite passée nomade digitale en traversant l’Amérique latine avec mon travail sous le bras.
Nouveau taf + nouveau continent = what else !
C’est la somme de ce que j’ai appris qui me permet de m’expatrier en travailleuse nomade. Mais le plus difficile reste le premier pas. De nombreuses personnes lisent et apprennent beaucoup sans jamais passer à l’action.
Qui a dit que s’évader de prison était facile ?
Il y a tellement d’excuses pour éviter de quitter son job
Ouvrez les tiroirs…
– J’attends l’opportunité mais c’est rare que la chance me tombe dessus.
– Je n’ai pas de talent. (Dur…)
– Je n’ai pas d’argent, je n’ai pas de relations et mes parents sont pauvres. Je ne peux donc pas entamer un business,
– et même si j’en commence un, je n’ai ni bureau ni clients, et de toute façon je suis trop timide pour appeler un client.
– Je ne peux pas écrire un livre, je n’ai pas de publicateur et que vont penser les gens ?
– Je suis trop vieux maintenant.
– Ok mais je veux faire de la création et je ne sais pas par où commencer…
– J’ai des enfants !
A toutes ces paroles, je réponds : « Je suis d’accord avec vous ». Si certaines personnes préfèrent rester en prison avec une porte grande ouverte, je ne vais pas argumenter.
Vous êtes juste libres d’y rester.
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