Car il y a journaliste et Journaliste. On vous invite à découvrir le témoignage poignant d’une jeune journaliste, payée 50$ par article, vivant au cœur du conflit Syrien, plongée dans l’enfer et l’insécurité dans l’indifférence des éditeurs.

« Les nouvelles technologies nous amènent à penser que la vitesse est un élément de l’information. Mais ce raisonnement repose sur une logique autodestructrice : le contenu, désormais, est standardisé, et votre journal, votre magazine, n’a plus aucune singularité, et il n’y a donc plus aucune raison de payer un reporter. Pour les nouvelles, j’ai Internet – gratuitement. La crise que les médias traversent est une crise du média lui-même, pas du lectorat. Les lecteurs sont toujours là, et contrairement à ce que croient beaucoup de rédacteurs en chef, ce sont des gens intelligents qui demandent de la simplicité sans simplification. Ils veulent comprendre, pas uniquement savoir. »

Article : http://bibliobs.nouvelobs.com/documents/20130731.OBS1691/lettre-d-une-pigiste-perdue-dans-l-enfer-syrien.html?fb_action_ids=10201722537804729&fb_action_types=og.recommends&action_object_map={%2210201722537804729%22%3A143593635849227}&action_type_map={%2210201722537804729%22%3A%22og.recommends%22}&action_ref_mapVoir la publication de Mr Mondialisation

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Lettre d’une pigiste perdue dans l’enfer syrien – Bibliobs – Le Nouvel Observateur

Ce texte sur son expérience syrienne a été publié le 1er juillet 2013, sur le site de la ‘Columbia Journalism Review’, par Francesca Borri, journaliste indépendante italienne, par ailleurs auteur d’un livre sur le Kosovo et d’un autre sur les rapports entre Israéliens et Palestiniens intitulé ‘Quelqu’un avec qui parler’ (Manifestolibri, 2010).

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