William Shakespeare disait : « Pour un noble cœur, le plus riche don devient pauvre, quand celui qui donne n’aime plus. »
L’amour a-t-il sa place dans la lutte ? Faut-il aimer pour donner ? Faut-il aimer pour lutter ?
La passion peut nous aveugler au même titre que l’absence de compassion. Mais dans un système « froid », où la rentabilité et la compétition priment sur la solidarité, où la moindre action de compassion est étiquetée de « bobo », n’est-il pas un devoir de lutter contre la « tentation misanthrope » ?
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