De plus en plus de pédiatres prennent position contre le nucléaire en raison des recherches montrant les graves pathologies dont souffrent les enfants situés dans les zones d’accidents nucléaires.
Un combat difficile tant l’omerta est omniprésente y compris (et surtout) à l’OMS, notamment sur les conséquences des catastrophes de Tchernobyl et de Fukushima, systématiquement revues à la baisse par rapport aux rapports indépendants.
Voici 4 portraits de pédiatres de renommée internationale qui luttent pour que la vérité et la recherche avancent : Helen Caldicott, australienne, Galina Bandajevsky, ukrainienne, Wladimir Wertelecki, américain, et Alex Rosen, allemand.
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« L’accident » de la centrale nucléaire de Fukushima Dai-ichi a remis en lumière les questionnements posés il y a 25 ans par celui de Tchernobyl quant à l’utilisation de l’énergie nucléaire.
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