L’industrie hyper-productive a pour objectif de réduire encore et toujours les couts de production afin de fournir aux consommateurs des produits en quantité et à petit prix.
Quid quand les conséquences de cette industrie engendre des couts astronomiques à la collectivité de manière indirectes ? Le rêve du « tout pas cher » est-il encore soutenable ?
De toute évidence, il ne l’est pas. Les failles de ce système sont de plus en plus apparentes. Ce n’est un secret pour personne, à l’autre bout du monde, dans des usines à la main d’œuvre malléable ou dans nos contrées, quand c’est la quantité qui prime sur la qualité, les effets indésirables se font tôt ou tard ressentir…
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Le coût de ramassage, de transport et de traitement des algues vertes a coûté à Saint-Brieuc agglomération 1 146 330 € sur la période 2010-2013. Le 16 mai 2012, la collectivité a formulé une requête devant le tribunal administratif de Rennes, demandant la prise en charge de ces frais par l’État.
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