Axelle, ou le symbole de ce qui ne tourne pas rond dans le monde
Axelle est une jeune fille belge de 17 ans, devenue la mascotte nationale des belges lors de la coupe du monde du simple fait de sa beauté.
Relayée par tous les médias « mainstream » qui la considèrent comme la plus jolie du pays (…), elle passera de l’anonymat à la célébrité en quelques heures.
Elle est vite repérée par l’Oreal et signe un contrat pour vendre les fameux shampoings. Success story à l’Américaine avec sa dose de nombrilisme, de paraître et de marketing. Message clair pour la jeunesse : ne faites pas de choses extra-ordinaires, soyez beaux, c’est tout. Malgré elle, Axelle devient un symbole de ce qui ne tourne pas rond. Le culte de la personnalité, du paraitre, le tout emballé et vendu à une multinationale.
Si on peut tout de même lui souhaiter beaucoup de bonheur, le karma est parfois taquin. En publiant une photo d’elle avec un trophée de chasse, le cadavre d’un Oryx abattu lors d’un safari en Afrique, elle attise désormais les foudres des belges.
Ceci n’est pas sans rappeler l’affaire de Kendall Jones dont les photographies de chasse furent bloquées par Facebook.
MAJ : La photographie incriminée n’est évidemment pas celle de Kendall Jones qui n’a jamais posé avec un oryx et n’a jamais porté cette coup de cheveux. La photographie a été publiée par Axelle en personne sur ses différents comptes officiels. Toutes les sources sont unanimes. Pas de fake ici. http://www.dailymail.co.uk/news/article-2686930/A-model-fan-Belgian-teen-lands-LOreal-contract-photographed-World-Cup-game.html
Voir la publication de Mr Mondialisation
Lire l’article « Belgium World Cup fan and now L’Oreal model Axelle Despiegelaere is big game hunter » de Mail Online
Après le buzz, le bad buzz pour Axelle, notre babe du mondial ! – DH.be
Pour ou contre la pratique de la chasse en Afrique par les occidentaux ? Considérée par certains comme cruelle, elle est cependant garante d’une régulation positive de la population animale.
Les avis de deux de nos journalistes s’opposent.
Lire l’article de D. HA.