Delphine Batho, ancienne ministre de l’agriculture, limogée le 2 juillet 2013, ne compte pas en rester là.
Pointant du doigt une menace pour la démocratie elle n’hésite pas à mettre en cause le poids des lobby dans son éviction et les connivences politico-industrielles.
Notamment en accusant la société Vallourec, directement intéressée par l’exploitation des gaz de schiste.
Affaire à suivre.
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« Les accusations de Delphine Batho sont graves. J’appelle à la création d’une commission d’enquête pour faire la lumière sur les conflits d’intérêts entre l’appareil d’Etat et les entreprises de l’énergie. »
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