Une étude le démontre, le tabac n’est plus forcément la première cause de cancers. La pollution vient concurrencer de manière inquiétante le tabagisme. Les scientifiques relèvent qu’il n’existe « aucun seuil en dessous duquel il n’y a pas de risque ». Seule issue, une société post-carbone ?Arrêter de polluer va-t-il s’avérer aussi difficile qu’arrêter de fumer ?
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Une étude publiée mercredi dans la revue médicale The Lancet a démontré qu’une exposition de longue durée à la pollution aux particules accroît le risque de cancer du poumon, même à des doses plus petites que celles autorisées au niveau européen. A plus court terme, une augmentation de cette pollution augmente le risque d’être hospitalisé ou de mourir d’une insuffisance cardiaque, selon une autre étude publiée dans la même revue.
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