Certains se spécialisent dans la création d’amalgames, comme « Le Monde » qui met dans le sac des « éco-résistants » (voir éco-négationnistes) ceux qui critiquent le Greenwashing (nous) et ceux qui doutent du changement climatique du fait de l’homme.
Dans la réalité, comme c’est le cas ici, nous pouvons critiquer fermement le Greenwashing sans pour autant remettre en cause les problèmes climatiques. Il est également possible de critiquer le développement durable tout en ayant un comportement éco-responsable. Mais les médias méprisent visiblement une réalité bien trop complexe pour eux.
Il faut à tout prix coller une nouvelle étiquette sur le front de ceux qui pensent par eux-mêmes.
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Christophe Guériteau, bientôt 43 ans, en a marre du marketing vert : « En famille, nous trions tout. Mais je me sens un peu « vache à lait » avec le développement durable », explique cet informaticien en reconversion. « J’ai trouvé des ampoules basse consommation à 7 euros l’unité ! Temps d’utilisation inférieur aux lampes à incandescence ; agents polluants à l’intérieur. J’ai un doute concernant le bilan pour la planète. En pleine crise, le marketing fait du vert sur tout, et… les prix s’envolent. »
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