En Turquie, le lobby nucléaire a les faveurs de l’autoritaire Président Recep Tayyip Erdoğan, au détriment du développement de l’efficacité et de la sobriété énergétique, et également des Énergies Renouvelables, dont le potentiel Turque est immense du fait de l’ensoleillement intense du pays et de sa proximité avec la mer. Citoyens, scientifiques et journalistes prennent part à la contestation.
« À Sinop, au bord de la Mer Noire, le gouvernement projette de construire une centrale. À Mersin, sur la côte méditerranéenne, un chantier a déjà commencé. La pression nucléaire se fait de plus en plus forte sur la Turquie, sous l’impulsion du Premier ministre Erdoğan, obsédé par l’atome. La contestation s’organise et dénonce le manque de transparence, la faiblesse des arguments économiques, et l’absence de recherche d’alternatives. »
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À Sinop, au bord de la Mer Noire, le gouvernement projette de construire une centrale. À Mersin, sur la côte méditerranéenne, un chantier a déjà commencé. La pression nucléaire se fait de plus en plus forte sur la Turquie, sous l’impulsion du Premier ministre Erdoğan, obsédé par l’atome. La contestation s’organise et dénonce le manque de transparence, la faiblesse des arguments économiques, et l’absence de recherche d’alternatives.
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