Partout à travers le monde on assiste à une avancée progressive mais réelle, des droits des animaux à commencer par les mammifères.
Certains prétendent qu’il s’agit là d’un sentimentalisme exacerbé, mais n’est-ce pas finalement de la sagesse élémentaire ?
Dans l’histoire, l’Homme a eu la fâcheuse tendance à réduire en exploitation ceux qu’il considérait comme inférieurs, jusqu’à ses propres frères de sang. Au cours du temps, la tendance est manifestement à développer la tolérance. Nous avons créé les droits de l’homme, mais nous avons tant de mal à en faire une réalité dans le monde.
Le droit de l’animal est désormais un débat contemporain. Cependant, cette cause ne remplace pas les luttes pour les droits de L’homme. Au contraire, ces luttes apparaissent complémentaires. Nous avons réduit la nature à l’état de produit et nous en payons les conséquences écologiques. On ne peut plus dire : « Il en a toujours été ainsi » pour justifier un comportement quand celui-ci est profondément injuste pour l’environnement. Transformer ce rapport de force en symbiose est désormais possible. Nous avons les techniques, reste à définir nos choix de consommation avec courage et discernement.
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