« La cité était désolée. Aucun vestige de cette race ne demeure dans les ruines qui soient porteur de traditions transmises de père en fils et de génération en génération.
Elle se dresse devant nos yeux telle une embarcation brisée au milieu de l’océan, sans mât, le nom effacé, l’équipage mort, sans personne pour nous dire d’où elle est venue, à qui elle appartenait, combien de temps elle a voyagé ni ce qui a causé sa destruction […].
C’étaient là les restes d »un peuple cultivé, policé, particulier, qui était passé par toutes les étapes inhérentes à la montée et à la chute des nations ; ils avaient connu un âge d’or et ils avaient péris […].
Dans le roman qu’est l’histoire du monde, rien ne m’a plus fortement impressionné que le spectacle de cette ville jadis grande et belle; désormais renversée, désolée; perdue […]. » JOHN STEPHENS à propos d’une ville Maya quand il l’a découverte.
Ouvrage à découvrir « Effondrement: Comment les sociétés décident de leur disparition ou de leur survie », car par la connaissance, nous avons le pouvoir du choix.
Infos et débats : Mr MondialisationVoir la publication de Mr Mondialisation