Au niveau mondial, le permafrost renferme quelque 1 700 milliards de tonnes de carbone, soit environ le double du CO2 déjà présent dans l’atmosphère. Cette matière organique gelée risque de fondre prochainement. Le Giec ne prend pas en compte ce phénomène dans ses prévisions climatiques pour l’instant.
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Véritable bombe à retardement, la fonte de ce permafrost, qui représente environ un quart de la surface des terres de l’hémisphère Nord, doit être désormais prise en compte dans les modèles climatiques, a recommandé mardi, à Doha, Kevin Schaefer, chercheur à l’Université du Colorado et auteur principal d’un rapport sur le sujet pour le PNUE.
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