Une firme allemande va lancer une voiture qui fonctionne grâce à de l’eau salée par phénomène d’électrolyse.
Comme pour la Tesla, pour attirer les yeux du public et l’intérêt des investisseurs, la marque doit d’abord lancer une voiture haut de gamme. Un choix stratégique qui peut choquer d’emblée vu la crise écologique mais le contexte économique semble primer sur le reste (sérieusement ?).
La voiture roule via un système de propulsion « Nanoflowcell » fonctionnant à l’eau salée. Il suffit d’injecter dans le réservoir un liquide chargé pour faire fonctionner les batteries sans lithium.
L’électrolyte déchargé pouvant quant à lui être rechargé grâce à l’énergie solaire ou aux éoliennes. Le liquide ferait donc un cycle « charge / décharge » complet limitant la pollution.
Il faudra cependant de nombreuses années avant de voir un modèle abordable.
Dans tous les cas, la Croissance mondiale posera un problème d’échelle au niveau des quantités de voitures produites, indépendamment du mode de propulsion. L’avenir risque d’être de plus en plus à la relocalisation et aux transports collectifs.
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Dévoilée en mars dernier lors du Salon de Genève, la Quant e-Sportlimousine de la firme allemande NanoFlowCell a récemment été approuvé par Tüv Süd pour une utilisation sur les routes d’Allemagne et d’Europe.
