Le paradoxe d’un système travailliste, c’est de pousser l’efficacité productive, faire mieux et plus avec moins d’hommes, alors qu’il n’est pas envisagé que « faire moins » puisse être considéré comme une libération du travail. Au contraire, les politiques encouragent le productivisme pour maintenir l’illusion (ou la croyance) que produire plus est la seule issue aux problèmes du monde. Dans un système limité matériellement, il ne faut pas longtemps pour comprendre que tout développement excessif aux externalités négatives mesurables devient à terme la cause de la soumission. La croissance sera-t-elle infinie ?
Illustration : Coté, journal Le Soleil, canada.Voir la publication de Mr Mondialisation