Réfuter la réalité du réchauffement climatique ou plutôt l’ampleur dudit réchauffement, ne semble aujourd’hui plus d’actualité, même si de nombreuses études et recherches sont encore en cours, notamment quant aux conséquences et aux actions à mener pour lutter contre.
Le discours des sceptiques occupe cependant une place importante, notamment lorsqu’il s’agirait de lever des fonds outre-Atlantique.
Le réchauffement climatique, enjeu politique ? financier ? humain ?
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Robert Brulle a d’abord identifié quatre-vingt-onze organisations qui portent dans les médias ou sur le Net un discours climatosceptique ou systématiquement opposé à toute action politique pour contrer le réchauffement. L’essentiel du bataillon est formé de syndicats professionnels et de laboratoires d’idées conservateurs ou libertariens inconnus en France – Cato Institute, Competitive Enterprise Institute, Heartland Institute… –, mais souvent considérés par les médias américains comme des sources légitimes sur une variété de sujets. Ces think tanks agissent par le biais de consultants ou « chercheurs associés » qui s’expriment dans les médias, rédigent des ouvrages grand public, publient sur Internet des billets, des rapports, etc.
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