Réaliser la chance que nous avons de vivre sur la Terre en découvrant les magnifiques paysages qu’elle nous offre est un excellent moyen de se donner la force d’adapter notre mode de vie. Ce n’est un secret pour personne, celui-ci est trop souvent nocif pour la nature et l’environnement. Pour cette raison nous vous suggérons cet excellent documentaire qui vous portera autour du monde, et en haute altitude, dans les yeux d’un oiseau.
Au-delà de l’émerveillement face aux paysages des différents continents, le documentaire «Un tour du monde à vol d’oiseau» est une mine d’informations sur la vie sociale méconnue des oiseaux, axée sur la solidarité et la compétition. Un film unique à découvrir absolument.
Synopsis : Au fil des quatre saisons, John Downer et ses équipes ont suivi les grandes migrations des oiseaux à travers les cinq continents. Grâce à des technologies dernier cri – caméras harnachées sur les volatiles, drones, hélicoptères sophistiqués… – et surtout à des oiseaux adoptés dès leur éclosion, ils ont pu les accompagner tout au long de leurs vols. De l’Amérique du Nord à l’Europe en passant par l’Afrique de l’Est, l’Amazonie et le Grand Nord, nous voilà embarqués dans le sillage d’oies des neiges, de vautours, d’hirondelles, d’aigles, d’aras, de flamants roses… Projetés avec eux jusqu’à plus de 9 000 mètres d’altitude, on découvre avec un œil neuf les paysages de la Terre, époustouflants vus du ciel – la Camargue, le Grand Canyon, la vallée du Grand Rift…–, et l’on se retrouve plongé dans la vie quotidienne d’oiseaux partis se reproduire à l’autre bout de la planète.
Si le documentaire célèbre la nature dans ses manifestations spectaculaires – l’image splendide de deux millions de flamants roses recouvrant un lac dans le nord du Kenya par exemple –, il nous montre aussi la vie sociale des oiseaux. Parmi eux, la solidarité – ou plutôt l’association en vue d’intérêts communs – est souvent de mise, comme lorsque les fous de Bassan et les dauphins suivent la même route et font converger leurs talents pour désorganiser les bans de sardines compacts et s’en nourrir. Mais souvent la cruauté l’emporte : les vautours guettent les proies traquées par les lions en contre-bas et de jeunes phoques inexpérimentés se font croquer par des orques, dans des séquences au montage digne des grands westerns.
Source partenaire : culturedocumentee.wordpress.com