Quand les Disney étaient critiques…

Musique par Alan Menken
Paroles par Stephen Schwartz
Adaptation française de Luc Aulivier et Philippe Videcoq
Interprétée par Laura Mayne

Paroles :

Pour toi, je suis l’ignorante sauvage
Tu me parles de ma différence

Je crois sans malveillance
Mais si dans ton langage
Tu emploies le mot sauvage
C’est que tes yeux sont remplis de nuages
De nuages…

Tu crois que la terre t’appartient toute entière
Pour toi, ce n’est qu’un tapis de poussière
Moi, je sais que la pierre, l’oiseau et les fleurs
Ont une vie, ont un esprit et un coeur

Pour toi, l’étranger ne porte le nom d’homme
Que s’il te ressemble et pense à ta façon
Mais en marchant dans ses pas tu te questionnes
Es-tu sûr, au fond de toi, d’avoir raison ?

Comprends-tu le chant d’espoir du loup qui meurt d’amour
Les pleurs du chat sauvage au petit jour ?
Entends-tu chanter les esprits de la montagne ?
Peux-tu peindre en mille couleurs l’air du vent ?
Peux-tu peindre en mille couleurs l’air du vent ?

Courons dans les forêts d’or et de lumière
Partageons-nous les fruits mûrs de la vie
La terre nous offre ses trésors, ses mystères
Le bonheur ici-bas n’a pas de prix

Je suis fille des torrents, soeur des rivières
La loutre et le héron sont mes amis
Et nous tournons, tous ensemble, au fil des jours
Dans un cercle, une ronde à l’infini

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Là-haut, le sycomore dort
Comme l’aigle royal, il trône impérial

Les créatures de la nature ont besoin d’air pur
Et qu’importe la couleur de leur peau
Nous chantons tous en choeur les chansons de la montagne
En rêvant de pouvoir peindre l’air du vent
Mais la terre n’est que poussière
Tant que l’homme ignore comment
Il peux peindre en mille couleurs l’air du ventVoir la publication de Mr Mondialisation

Musique par Alan Menken
Paroles par Stephen Schwartz
Adaptation française de Luc Aulivier et Philippe Videcoq
Interprétée par Laura Mayne

Paroles :

Pour toi, je suis l’ignorante sauvage
Tu me parles de ma différence
Je crois sans malveillance
Mais si dans ton langage
Tu emploies le mot sauvage
C’est que tes yeux sont remplis de nuages
De nuages…

Tu crois que la terre t’appartient toute entière
Pour toi, ce n’est qu’un tapis de poussière
Moi, je sais que la pierre, l’oiseau et les fleurs
Ont une vie, ont un esprit et un coeur

Pour toi, l’étranger ne porte le nom d’homme
Que s’il te ressemble et pense à ta façon
Mais en marchant dans ses pas tu te questionnes
Es-tu sûr, au fond de toi, d’avoir raison ?

Comprends-tu le chant d’espoir du loup qui meurt d’amour
Les pleurs du chat sauvage au petit jour ?
Entends-tu chanter les esprits de la montagne ?
Peux-tu peindre en mille couleurs l’air du vent ?
Peux-tu peindre en mille couleurs l’air du vent ?

Courons dans les forêts d’or et de lumière
Partageons-nous les fruits mûrs de la vie
La terre nous offre ses trésors, ses mystères
Le bonheur ici-bas n’a pas de prix

Je suis fille des torrents, soeur des rivières
La loutre et le héron sont mes amis
Et nous tournons, tous ensemble, au fil des jours
Dans un cercle, une ronde à l’infini

Là-haut, le sycomore dort
Comme l’aigle royal, il trône impérial

Les créatures de la nature ont besoin d’air pur
Et qu’importe la couleur de leur peau
Nous chantons tous en choeur les chansons de la montagne
En rêvant de pouvoir peindre l’air du vent
Mais la terre n’est que poussière
Tant que l’homme ignore comment
Il peux peindre en mille couleurs l’air du vent

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