Le labour profond serait-il symptomatique d’une agriculture patriarcale brutalisante qui exige une aseptisation et une productivité forcenée ? En tout cas, les faits parlent d’eux-mêmes : le labour, couplée à la chimie, détruit le monde vivant du sol qui occupe une place centrale dans la fertilité de la terre; et libère des gaz à effets de serre.

Peut-être serait-il temps d’évoluer progressivement vers une agriculture plus douce, plus intelligente, et en coopération directe avec la nature en se servant de ses éléments interdépendants. Notre niveau de santé et celles des générations futures dépendront de ce choix important.

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«Le labour, c’est le passé!» Michel Griffon n’y va pas par quatre chevaux de trait. Agronome, économiste, actuellement conseiller scientifique de l’agence nationale de la recherche (ANR), ce chercheur propose tout simplement au monde agricole de renoncer à remuer ciel et surtout terre pour préparer les sols avant le semis. Et il n’est pas le seul.

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