Alors on change ? Reportage à voir ici (20min) : http://www.rtbf.be/video/detail_alors-on-change?id=1843449
L’émission belge propose de suivre des citoyens qui ont décidé de changer dans leur domaine ! Alors, on change ? A découvrir, critiquer et partager.
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Du karting… électrisant!
La fée électricité peut propulser des voitures, des trams et des vélos, mais aussi d’autres véhicules, plus inattendus. A Londres, Alan avait depuis longtemps une piste de karting tout à fait conventionnelle, avec des karts à essence. Il a décidé de se lancer dans le karting électrique : moins bruyant et, surtout, moins polluant, il est tout aussi rentable pour son entreprise. Et vous allez le voir, les karts électriques sont même encore plus performants…
Musique sans CO2
L’électricité peut aussi alimenter des concerts de musique en plein air. Pour ce faire, Walter, un Catalan pure souche qui vit depuis toujours à Barcelone, a inventé la « zéro mobile » : un tricycle équipé de panneaux solaires qui lui permet de transporter tout ce dont il a besoin pour faire de la musique durable. Mieux encore : il installe des vélos devant la scène et invite le public à pédaler pour recharger ses batteries. Résultat : pas d’émissions de CO2 et du pur plaisir pour les oreilles… et les poumons !
Les déchets deviennent énergie
Chaque année, des millions de tonnes de déchets ne sont pas traités, alors qu’ils renferment encore une grande quantité d’énergie. C’est le point de départ de l’initiative de Massimo : à Venise, il a lancé un projet écologique dont l’objectif est de récupérer le plus d’énergie possible des déchets non recyclés. Résultat : en remplaçant le pétrole et le charbon, chaque tonne de déchets permet d’éviter de produire presque une tonne de CO2.
Dans le cochon, tout est bon… même le lisier !
La petite ville de São Gabriel est située dans une région du Brésil appelée Pantanal où la biodiversité est reine. Il s’agit de la plus grande zone humide de la planète, et pour préserver cet environnement exceptionnel, Carlos Alberto produit de l’énergie électrique grâce aux excréments de ses porcs. Ce projet pionnier prévoit l’installation de 50 biodigesteurs, cela permet d’une part de traiter les déchets générés par les très nombreux élevages de porcs de la région, et d’autre part de produire de l’électricité pour une grande partie de la ville.
