Le sable, on a le sentiment qu’il est présent en quantité infinie sur terre. Mais l’économie de croissance finit toujours par révéler ses limites même concernant une ressource très répandue.
Le sable est la troisième ressource la plus utilisée après l’air et l’eau. Autant dire que le sable « transformé » est partout. Dans nos voitures, nos téléphones, nos maisons, nos routes, nos panneaux solaires,… On ne peut plus s’en passer et pourtant son utilisation réclame une quantité d’énergie conséquente avec un impact de plus en plus prégnant.
75 % des plages du monde seraient grignotées, créant de graves troubles environnementaux mais également géologiques avec des conséquences de plus en plus palpables sur les populations côtières.
Voici une série de documents, débats et reportages sur le sujet, proposés par Arte.
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Après la ruée vers l’or, la ruée vers le sable ? Puces électroniques, plastique, et surtout matériaux de construction : matière première bon marché, le sable est partout. Si le sable des déserts reste impropre à la construction, les magnats du bâtiment se sont massivement tournés vers l’exploitation des rivières et plages, au détriment de l’équilibre des écosystèmes. Petit à petit, les appétits économiques ont grignoté au moins 75 % des plages du monde, et englouti des îles entières : enquête sur un pillage écologique mêlant multinationales et réseaux mafieux.
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