Sur la Syrie, on entend tout et son contraire, souvent dans des positionnements radicalement opposés, mêlant idéologies politiques et intérêts économiques, ne laissant aucun espoir à une vision proche d’une quelconque réalité de terrain que subissent les civils. Les visions modérées se font trop rares et ça ne présage rien de bon.
Nous doutons qu’il y ait les méchants d’un coté, les gentils de l’autre. Nous sommes perplexes à l’idée de devoir soutenir corps et âme un camp plutôt qu’un autre. Mais nous n’avons aucun doute sur le fait que des citoyens subissent une nouvelle fois la folie des hommes, que ce soit celle d’un régime autoritaire, celle d’une idéologie religieuse meurtrière ou celle d’un interventionnisme militaire occidental.
On vous invite donc à faire preuve d’une grande indépendance d’esprit sur le sujet.
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