Cet épisode de «Le dessous des cartes» s’intéresse au futur des villes modernes en traitant de l’apport économique, social et environnemental de ces dernières.
Présentement, 53% de la population mondiale habite une métropole, ce taux augmentera à 65% d’ici 2050. Or, bien évidemment, le phénomène de croissance de la population urbaine a un impact écologique important. Cependant il semblerait que la ville soit l’échelle parfaite pour piloter un projet de métropole verte. Le sort environnemental de notre planète serait-il entre les mains d’une plus petite échelle que les États ?
C’est ce que croit, entre autre, certains ingénieurs se penchant sur le futur de la ville de Grenoble. D’abord, les villes sont bien plus concrètes que les États pour combattre la crise écologique actuelle. Les villes sont des pionnières pour favoriser une consommation énergétique plus verte. Pour y arriver, dans la ville de Grenoble, on souhaite passer au transport par Modul’air, combinant le tram ainsi que le téléphérique. Puis, on souhaite faire revenir la nature pour assurer un meilleur milieu de vie aux habitants du milieu urbain. Une idée a dupliquer dans toutes les métropoles du monde ?
Donner le pouvoir aux citoyennes et citoyens de proposer divers projets pour leur métropole ? C’est présentement le projet de la ville de Montréal en lançant le site web «Je vois Mtl» sur lequel la population peut soumettre divers projets dynamiques pour créer une ville à l’image des Québécoises et Québécois.
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