Sans le savoir, vous avez peut-être déjà vu passer une de ses nombreuses œuvres. Prolifique dans la bande dessinée américaine (Comics) tout comme dans de nombreux magazines et au compte d’associations, cet artiste mérite qu’on s’y intéresse un instant.
James Jean n’est pas un artiste qu’il est possible de catégoriser. Il a exploré de très nombreux thèmes et techniques en travaillant pour des employeurs d’horizons diamétralement différents. Avec les années, il va emmagasiner un portfolio d’une richesse peu commune pour son âge. Il dessinera notamment pour DC Comics, le Time Magazine, Rolling Stone, Atlantic Records, Playboy, Prada et d’autres. Ce n’est pas tant de grands noms de l’édition qui devraient nous impressionner mais la capacité de l’artiste à renouveler son style, à explorer sans cesse de nouvelles contrées. Par ailleurs, James Jean va participer à plusieurs campagnes de communication pour des ONG et associations notamment sur la question du SIDA et de l’aide aux aveugles.
Et voici James Jean devant une de ses oeuvres
Of all the hot commercial « lowbrow » artists today I strongly suspect James Jean would have the fastest growing following. And going by his super extensive portfolio you’d wonder if he’s not the hardest working. Regardless, his growing popularity and stature as the illustrator of looking through the groovy darkly is well established.
Source : planetvideo.com.au