» L’information pourrait passer inaperçue si elle n’était pas proprement ahurissante. un apiculteur a été assigné en justice par AGO-Vinci, parce que ses abeilles butinaient sur des parcelles que la société possèdent.  »

Il paraît que le ridicule ne tue pas et que la vie est incohérente.

Quand les deux paramètres sont jumelés, le tout en devient inquiétant.
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L’information pourrait passer inaperçue si  elle n’était pas proprement ahurissante. un apiculteur a été assigné en justice par AGO-Vinci, parce que ses abeilles butinaient sur des parcelles que la société possèdent. A l’origine, l’apiculteur louait son rucher, composé d’une vingtaine de ruches, au conseil général. « En avril 2012 le conseil général l’a informé que ces parcelles appartenaient désormais à Aéroports du Grand Ouest. L’apiculteur s’est donc acquitté du fermage début 2013 à AGO. Somme par ailleurs encaissée par l’entreprise. Pour autant, AGO a demandé à mettre fin au contrat de fermage. Face au refus de l’apiculteur, celui-ci est convoqué au tribunal pour, entre autre, violation de propriété et occupation illégale de la parcelle. La peine proposée correspond à une astreinte de 100 € par jour de retard et 1 500 € de préjudice », raconte Europe Ecologie les Verts, qui apporte son soutien à l’apiculteu

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