Paul Ariès, théoricien objecteur de croissance, dans une conférence sur la critique de productivisme.

A méditer, analyser, critiquer..

Partie 2 : http://www.youtube.com/watch?v=AciuabVGv4Q


Partie 3 : http://www.youtube.com/watch?v=AciuabVGv4QVoir la publication de Mr Mondialisation

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Paul Ariès 1ère partie – YouTube

http://www.une-autre.info – la webTV des consomm’acteurs des Pyrénées-Orientales

http://une-autre.info/index.php/lecteurs-reportages/items/paul-aries-objecteur-de-croissance-et-amoureux-du-buen-vivir.html

Paul Ariès prône :  » le buen vivir , vie bonne, jours heureux, vie pleine, socialisme gourmand…  »

Paul Ariès est un politologue, un rédacteur en chef de journaux militants (La vie est à nous et les indignés) mais aussi un essayiste sur les problématiques liées à la malbouffe, aux sectes ou encore sur la pédophilie qu’il associe à la mondialisation. Il est une référence intellectuelle dans le courant de la décroissance et s’intéresse de près à l’écologie politique. Il prône je cite : le buen vivir , vie bonne, jours heureux, vie pleine, socialisme gourmand… autant de gros mots pour dire la nécessité de penser et d’organiser autrement les chemins de l’émancipation

Pour lui, nous avons besoin de sortir du capitalisme et développer une politique efficace pour que les générations à venir ne subissent pas l’échec social et politique des anciennes générations. Il s’oppose à la croissance comme seule alternative pour résoudre la crise que nous vivons actuellement.

Il faut faire des pas de côtés afin de sortir des sentiers battus qui nous sont imposés au quotidien. Il souhaite multiplier les expériences afin d’optimiser notre vie sociale et politique. Pour Paul Ariès, Nous avons oublié ce que les anciens savaient intuitivement, que le commerce seul ne permet pas de faire une société et de donner un sens à nos vies, Aucune société ne peut reposer durablement sur la consommation, sinon on commence par consommer des objets, puis on consomme d’autres humains (développement de toutes les formes de violence) et on finit par se consommer/consumer soi-même. Nous avons donc de bonnes raisons de nous refuser autant comme forçats de la consommation que comme forçats du travail.

Ainsi sa conférence sur la décroissance est une approche intéressante du « buen vivir » car elle permet de nous donner des solutions efficaces pour développer une société plus saine et plus sereine.

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